Omaha World Herald Freedom Center

Plaques de base à PSI élevé : EPOGROUT 758™

M. Frank Bianchi a également commenté les exigences de coulis du projet. "À cause de la largeur étroite et des charges dynamiques élevées vers le bas dans la salle de stockage du papier journal, les ingénieurs de spécifications voulaient s'assurer que les systèmes de transport sur rail du papier journal n'aller pas broyer et secouer l'assiette des rails jusqu'à la détruire Ils voulaient que ce système reste à niveau et en place pour les prochaines décennies. C'est pourquoi ils ont spécifié EPOGROUT 758™." Frank poursuivit en disant, "Le processus de coffrage est presque aussi important en soi, que de poser le coulis. C’était utile que certains gars aient participé à l’un des séminaires de LATICRETE® où ils ont appris les subtilités du travail avec ce produit."

M. Mark Peitzmeier, contrôleur général : Peter Kiewit & Sons

Le Omaha World-Herald "Ce n'est pas un bâtiment classique", a dit M. Mark Peitzmeier, contrôleur général chez Peter Kiewit and Sons en charge du récent projet du Omaha World-Herald Freedom Center. "C’était l’un des chantiers de coffrage de béton le plus difficile que j’ai eu à effectuer. Il avait probablement cinq fois la quantité de béton trouvé dans un bâtiment typique."

L’éditeur transforme une histoire de pêche en réalité

Le Omaha World-Herald Freedom Center a été conceptualisé en 1998 par l’éditeur M. John Gottschalk, alors qu’il pêchait à la truite avec son ami M. Ken Stinson, président de Peter Kiewit Sons' Inc., une entreprise internationale de construction à Omaha, Nebraska.

John Gottschalk, président, Omaha World Herald Freedom Center

Gottschalk a partagé sa vision avec l’homme dont l'entreprise allait finalement construire le "Freedom Center", sites de production d'avant-garde du World-Herald. Le rêve de Gottschalk était de publier un communiqué puissant et intemporel qui reflète la qualité du World-Herald. Il voulait également remplir un engagement qu’il avait pris pour la revitalisation du centre-ville d’Omaha.

Le premier coup de pelle du nouveau Freedom Center a été donné le 1er mai 1999. L'inauguration a eu lieu le 1er septembre 2001, ayant comme invité principal M. James Baker, ancien secrétaire d’état des États-Unis. Des tests finaux de la presse ont été complétés et le nouveau "mis à jour" Omaha World-Herald a commencé à imprimer les éditions du 1er septembre dans le Freedom Center tard le 31 août 2001.

Le Freedom Center de 125 millions $ US est la pierre angulaire d’une importante expansion du bâtiment au centre-ville d’Omaha qui va éventuellement inclure plus de 1,5 milliard $ US dans de nouvelles constructions au centre-ville. Omaha profitera des avantages à long terme de plusieurs nouvelles installations de loisirs, de voyage, de ventes au détail, de sociétés et de fabrication qui ont été ou qui vont être construites dans les prochaines quatre années.

Est-ce que les journaux sont condamnés? Pas celui-ci!

Alors que de nombreux journaux du pays connaissent une baisse des revenus publicitaires, une augmentation des coûts du papier journal et des autres matières premières, des consolidations ou des rachats, des coupes dans l'emploi ou fonctionnent avec des profits réduits, l'Omaha World-Herald se classe régulièrement parmi les meilleurs journaux quotidiens aux États-Unis. Des meilleurs 100 journaux quotidiens américains, le Omaha World-Herald a été classé parmi les 10 meilleurs en termes de taux de pénétration, c'est-à-dire la diffusion divisée par le nombre de foyers.

L’optimisme de Gottschalk reste fort par rapport à plusieurs prophètes de malheur de l’information prédisant la fin de l’industrie du journal. Le fait est que le World-Herald a continué de bénéficier d'une croissance régulière, en termes de tirage, de lectorat, de revenus publicitaires et de prospérité. Étant une entreprise détenue par ses employés, le Omaha World-Herald est exploité et géré par des actionnaires qui ont un fort sentiment de la propriété et qui ont travaillé pour le journal pendant des décennies.

Le Omaha World Herald Freedom Center, Omaha, NE

Nouvelle technologie versus obsolescence

La décision de construire le nouveau centre de fabrication de 125 millions $ US a nécessité plus d’une décennie de planification, de recherches et, bien entendu, l’engagement financier de ses actionnaires. Un facteur important dans l’industrie actuelle des journaux est d’investir ou non dans de l’équipement neuf pour de nouvelles technologies... Les nouvelles presses à la pointe de la technologie coûtent des millions de dollars.... et plus encore, lorsque tout le monde entend les prédictions de l’industrie de la presse écrite remplacée par des médias électroniques ultra-rapide. M. John Gottschalk a récemment dit, "Les gens qui mettent sur le même pied le changement technologique et l’utilisation de l’information font une grosse erreur. Même si les technologies ont changé au cours de l’histoire, ce qui n’a pas changé c'est l’utilisation de l’information. Et personne ne le fait mieux que les journaux."

La liberté et la démocratie étant du domaine public, Gottschalk ne pouvait pas savoir, alors qu'il était assis dans le bateau avec son camarade de pêche, à quel point le nom Freedom Center deviendrait approprié, surtout à la lumière des récentes violences faites aux libertés fondamentales de ce pays.

M. Gary Martin; M. Don Gray, président, Industrial Coatings; M. Ed Hansen

"C'est là pour être vu par tous!", a commenté un passant en marchant à l'est sur Capitol Avenue. "Le The Omaha World-Herald, rend la presse libre... et les gens libres", comme le suggère le logo circulaire dans The Freedom Center. C'est un hommage à la protection que fournit le premier amendement à la liberté de presse. Gottschalk a commenté le thème choisi, "Le nom vient de la croyance que les journaux sont le manuel quotidien de la démocratie. C'est le rôle de l’information fiable comme ingrédient nécessaire afin de rester auto-gouverné et libre."

--Source : Omaha World-Herald, 26 août 2001

Le défi : Bien plus que seulement du béton, de l'acier et du verre

"Passant au travers des trois saisons, combattant le vent, la pluie et les températures extrêmes, et, lors de certains jours, ayant à faire à 70 camions de béton attendant l'un derrière l'autre pour verser et pomper 535 m3 (700 ya3) de béton en une seule matinée, je considère que c'est, au moins, inquiétant et éprouvant pour les nerfs." A dit M. Phil McKeone, président de Daedalus Construction. "À cause des horaires serrés, mes équipes travaillaient côte à côte avec les gars du Ready-Mix. Avec une équipe de presque 50 personnes, 2 grosses pompes et toutes les dalles à l'extérieur, mon équipe devait travailler rapidement et avec précision. Plus tard, nous avons installé correctement l’EMERYPLATE FF™ avec peu à aucune eau d'écoulement...c’était un vrai défi. Nous utilisonsE-CON™ sur presque tous nos chantiers, mais sur ce seul projet en particulier, ils a sauvé notre travail plus d’une fois." Phil a ajouté, "Avec la plupart du travail de construction en béton dans le bâtiment, mes équipes étaient responsables de la la dalle sur terre-plein et des trois autres étages au-dessus. Le sol de la table de presse était un vrai défi. Cela exigé une conception spéciale de mélange et ne pouvait dévier de plus de 1,6 mm (1/16 po) au dessus du niveau sur l'ensemble de la longueur de 91,4 m (300 pi)"

M. Ben Ricceri, directeur du contrôle de la qualité Ready-Mix Concrete

Conceptions du mélange : Plus votre béton traditionnel

"Les ingénieurs nous lançaient vraiment des défis pour les conceptions du mélange." A dit M. Ben Ricceri, directeur du contrôle de la qualité pour l'entreprise Ready-Mixed Concrete. Il a rajouté, "La plupart des dalles structurelles (environ 7 646 m3/10 000 ya3 au total) avaient en moyenne une conception de béton à air non-occlus, un retrait très faible et une résistance de 5 000 PSI. La conception du mélange du sol de la table de presse était différente, utilisant une faible chaleur d’hydratation du mélange et une résistance plus élevée en PSI. Dans le bâtiment au complet, nous étions responsables de la conception du mélange et de la livraison à temps de plus de 19 114 m3 (25 000 ya3) de béton (c'est environ 1 050 chargements au total) à cause du type spécialisé de production effectué à cet endroit, c'est beaucoup plus de béton que nous ne trouverez dans la plupart des bâtiments."

"À cause de la quantité importante de circulation opérationnelle prévue dans l’installation terminée, nous voulions protéger le sol de la meilleure façon possible", a commenté M. Frank Bianchi, directeur régional chez LATICRETE®. "Au moment de revoir les exigences du projet avec les ingénieurs du projet chez HDR, j’ai recommandé qu’ils considèrent utilisation de notre meilleur durcisseur de granulats de minéraux pour sol, l’EMERYPLATE FF™." EMERYPLATE FF™ a été utilisé dans plusieurs sols d’usine de fabrication au cours des années, remplaçant les traditionnels saupoudrages métalliques à sec à cause de sa dureté et sa résistance plus élevée à l’abrasion. "J’ai recommandé EMERYPLATE FF™ pour protéger les zones à circulation élevée des nombreux chariots (1 705 chariots) utilisés dans ces zones du bâtiment. À cause de la conception de mélange utilisant très peu d’eau, E-CON™ était un produit important pour aider l’équipe de Phil à s’assurer que l’EMERYPLATE FF™ soit correctement installé."

EMERYPLATE FF™ et SEAL HARD® augmentent la durabilité à long terme du sol et diminuent les coûts

Durcisseur pour sol

"Notre défi était de brosser plus de 30 tambours de SEAL HARD® à tous les étages, sur tous les 21 140 m2 (227 550 pi2) ",a dit M. Don Gray, président de Industrial Coatings, Inc. Il a ajouté, "Plusieurs de ces dalles étaient déjà durcies avec l’EMERYPLATE FF. À cause du peu de temps, du fait des échéances raccourcies, notre équipe devait commencer le travail, le finir, sortir et passer à l'étage suivant, afin que le prochain groupe de construction puisse continuer après nous. Nous avons utilisé une équipe de 6 personnes avec des brosseuses mécaniques à manipulation assise que nous avons modifiées pour une action de brossage plus agressive afin d’introduire le produit dans la surface supérieure de la dalle en béton plus rapidement qu'à la main."

EPOGROUT 758 (inséré) était un composant important pour stabiliser le système

M. Frank Bianchi a ajouté, "L’équipe de Don a appliqué le SEAL HARD® partout dans cette installation. Il a été utilisé à la fois comme traitement unique pour les étages supérieurs et en tant que produit complémentaire par dessus l’EMERYPLATE FF™. Nous avons découvert que le coup double de l’EMERYPLATE FF™ et de SEAL HARD® fournira au propriétaire une finition de sol en béton extrêmement durable et de longue durée. Dans les zones d’usure moins importantes, SEAL HARD® seul, c'est avéré au moins doubler la résistance d’un sol en béton à l'abrasion, avec très peu d'entretien continu requis."